La Bête du Gévaudan Rome, La Louve Nourricière


La bête du Gévaudan

Ou la bête à manger le monde

Situation :
Eté 1764, plusieurs vachers racontent a qui veut bien l'entendre qu'un gros chien a fait mine de s'élancer sur eux!.
L'escalade : On découvre les restes de jeanne Boulet, agée de 14 ans, native des Ubas (paroisse de St Etienne de Lugdarès). On mentionne qu'elle fut dévorée par une bête féroce.
Les faits se mettent en place : Une affaire qui devait durer plusieurs années et qui fait encore parler d'elle.
Les attaques devaient continuer et s'amplifier jusqu'à donner à cette affaire une dimension nationale. Les autorités locales demandèrent la permission d'attrouper les gens en arme. Face à cette multiplication des crimes, face à la mutilation des corps et l'audace croissante de la bête, la population a peur.
La Cour se voit Informée; des groupements de chasseurs se crées; des battues s'organisent.
Août : 2 victimes.
Septembre : 5 victimes.
Fin Décembre : on compte 18 morts.
Duhamel, capitaine aide-major, commandanrt d'un détachement de dragons intervient avec ces derniers. Sus à la bête!. Réquisitions, battues indisposent les villageois mais ne font pas cesser le massacre.
Le 27 janvier 1765, le roi offre 6 milles livres de récompense, qui viennent s'ajouter à d'autres récompenses déja promises tels que les deux milles livres des Etats Généraux du Languedoc et milles livres de lévêque de Mende. Une véritable fortune!
Janvier : 11 victimes.
février : 6 victimes.
Face à la situation le roi détache sur place Denneval en Gévaudan : il a 1200 Loups à son tableau de chasse.
Les résultats ne sont pas là. Antoine de Beauterre, Porte arquebuse du roi et lieutenant de ses chasses le remplace.
Battues, courses, appats empoisonnés ne donnent rien. C'est donc que se ne sont pas les Loups. Les évêques demandent que l'on prie et Antoine exige des chiens de louveterie qui arrive le 16 septembre.
Le 17 des Loups sont signalés dans la région et le 21 antoine abat 1 grand Loup. Le 4 octobre, un second est yué ainsi qu'un Louveteau. Le 14 la Louve est tuée.
Les attaques vont cesser, le pays se croit délivré!!.
Il y a eut 57 victimes en 9 mois et toutes des jeunes.
Le 2 septembre 1965 : 2 enfants sont attaqués dans les mêmes parages.
Le 21 du même mois : Agnès Mourgues, 11 ans, est tuée. La tête est détachée du corps, le cou, les épaules, la poitrine ont été rongées.
Les morts se succèdent de nouveau. Jean Castel, au cours d'une retraite de prière, fait bennir son fusil et tue 1 Loup le 19 juin 1767 dans les bois de la Tenazeyre et sa Louve le 27. Les morts cessent.
Du 1er juillet 1764 au 12 juin 1767 :On recense officiellement 99 victimes sans compter les blessés et les peurs. La légende de la bête du gévaudan est née.

Les thèses :
  • Une première met en scène les Loups.
  • Une autre, un animal dressé doublé d'un malade. Les témoignages de l'époque parfois contradictoires, parfois nuancés, les drescriptions insuffisantes, l'absence d'autopsie rendent difficle un travil de reconstitution des faits.
    A la lumière des différents éléments comme l'analyse des crarctéristiques des victimes, d'une meilleure connaissance du comportement du Loup, nombre d'etnologues comme G. Ménatory affirment que la bête du Gévaudan n'était pas 1 Loup ni des Loups même s'ils touchèrent aux cadavres.

  • Moyenne des loups tués au Gévaudan : 70



    Rome, La Louve Nourricière



    Au VIIIème siècle AV J.C, les guerres de succession faisaient rage. Chacun se méfiait de ses fils, du frère...et tous de chacun.
    Amulius chassa Numitor. Il avait voué sa nièce Rhéa à la prêtrise, à la virginité et à la chasteté. Mais elle allait concevoir. Pour cette faute, la Mort, seule à pouvoir la racheter.
    Elle fut enterrée vive et le fruit de son union livré au Tibre.
    Les eaux grondantes accueilleront avec bienveillance le berceau qui leur fut jeté. Elles guidèrent doucement l'avenir de la future Rome vers une crique ou il s'échoua sans heurt.
    Aux cris impatients des nouveaux nés, une Louve surgit des taillis, mamelles gonflées d'un lait que ses louveteaux ne boiraient plus. La providence s'offrait aux jumeaux abandonnés, sous l'apparence d'une Louve, attribut de Mars, dieu de la Guerre.
    Après les avoir sauvé, Mars sut pourvoir à leur avenir. Il permit au berger Faustulus de parvenir à la louvière ou étaient les enfants. Il les nomma Remus et Romulus.
    Le sang royal qui bouillonnait dans leurs veines, leur fierté et leur ardeur guerrière firent plustard deviner à Numitor, le roi déchu, leurs origines princières. Remus et Romulus reconquirent le trône d'Albe-la-Longue avant de fonder les cîtés dont ils seraient les maîtres.
    C'est l'endroit précis où la Louve les avait allaités qu'ils choisirent.

    Remus sur l'Aventin, Romulus sur Le Palentin. Ils tracèrent le sillon des fondations du mur d'enceinte. L'oracle fut favorable à Romulus.
    Remus affronta son frère, mais le destin avait parlé. Le duel des jumeaux se termina dans le sang de Remus. La cité s'appelérait ROME .



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